Archips crataegana (Hübner, 1799)
Classe :
Insecta
Ordre :
Lepidoptera
Famille :
Tortricidae
Sous-Famille :
Tortricinae
Tribu :
Archipini
Genre :
Archips
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- 14 observations
-
13
communes -
7
observateurs
0
organisme -
Première observation
2003 -
Dernière observation
2024
Informations sur l'espèce
Envergure : 18-27 mm
Les ailes antérieures de ce papillon sont brun-gris avec deux larges marbrures obliques brun rougeâtre et une plus petite vers la base. L'une des deux, située vers le milieu, est large et part du bord interne mais ne touche pas le bord costal, l'autre, de forme triangulaire arrondie, est située vers l'extérieur et part de la côte en direction du bord interne sans le toucher. Les femelles de la Tordeuse de l’aubépine sont plus grandes que les mâles et possèdent des ailes plus sombres. Le reste du corps est brun pâle. Les chenilles ont un corps gris à verdâtre, une tête noir brillant, elles possèdent quelques soies argentées sur tout le corps.
Les ailes antérieures de ce papillon sont brun-gris avec deux larges marbrures obliques brun rougeâtre et une plus petite vers la base. L'une des deux, située vers le milieu, est large et part du bord interne mais ne touche pas le bord costal, l'autre, de forme triangulaire arrondie, est située vers l'extérieur et part de la côte en direction du bord interne sans le toucher. Les femelles de la Tordeuse de l’aubépine sont plus grandes que les mâles et possèdent des ailes plus sombres. Le reste du corps est brun pâle. Les chenilles ont un corps gris à verdâtre, une tête noir brillant, elles possèdent quelques soies argentées sur tout le corps.
Non renseigné pour le moment
Les papillons de la Tordeuse de l’aubépine vole de juin à août, principalement à la tombée de la nuit, on les rencontre dans les bois, les vergers, les haies. Les chenilles enroulent le bord des feuilles en un tube à l'aide d'un fil de soie pour y vivent à l'intérieur, un comportement qui a donné son nom à la famille : les Tordeuses.
Reproduction
L'espèce a une génération par an. Les œufs sont pondus par groupes bien visibles d'une trentaine, sur les troncs et les branches. C'est ainsi que la Tordeuse du chêne hiverne. Les œufs éclosent vers avril, les chenilles effectueront ensuite leur nymphose dans les tubes formés par l'enroulement des bords des feuilles.
Régime alimentaire
La chenille est polyphage, elle se nourrit de feuilles développées de nombreux arbres feuillus (Chêne, Orme, Frêne, Saules Peuplier, Pommier) pour lesquels elle peut être nuisible, mais les dégâts sont généralement peu importants.
Réseau trophique
La Tordeuse de l’aubépine possède les mêmes prédateurs que les autres papillons, des oiseaux, des araignées, elle peut également être parasitée. Les passereaux apprécient les chenilles des papillons pour nourrir leurs petits.
Reproduction
L'espèce a une génération par an. Les œufs sont pondus par groupes bien visibles d'une trentaine, sur les troncs et les branches. C'est ainsi que la Tordeuse du chêne hiverne. Les œufs éclosent vers avril, les chenilles effectueront ensuite leur nymphose dans les tubes formés par l'enroulement des bords des feuilles.
Régime alimentaire
La chenille est polyphage, elle se nourrit de feuilles développées de nombreux arbres feuillus (Chêne, Orme, Frêne, Saules Peuplier, Pommier) pour lesquels elle peut être nuisible, mais les dégâts sont généralement peu importants.
Réseau trophique
La Tordeuse de l’aubépine possède les mêmes prédateurs que les autres papillons, des oiseaux, des araignées, elle peut également être parasitée. Les passereaux apprécient les chenilles des papillons pour nourrir leurs petits.
Cette espèce est largement répandue en Europe et en France, Corse comprise.
Relation avec l'Homme
Comme les autres papillons, cette espèce est sensible à la dégradation de son habitat et aux pesticides, ce à quoi s’ajoute l'impact négatif de la circulation routière, du broyage systématique des haies, de l'éclairage des enseignes et bords de routes par des néons ou des lampes à vapeur de mercure, ainsi que des pratiques agricoles et sylvicoles inappropriées : tout cela tue un nombre très important d'adultes et de chenilles. Elle ne bénéficie toutefois pas d'un statut de protection particulier.
Comme les autres papillons, cette espèce est sensible à la dégradation de son habitat et aux pesticides, ce à quoi s’ajoute l'impact négatif de la circulation routière, du broyage systématique des haies, de l'éclairage des enseignes et bords de routes par des néons ou des lampes à vapeur de mercure, ainsi que des pratiques agricoles et sylvicoles inappropriées : tout cela tue un nombre très important d'adultes et de chenilles. Elle ne bénéficie toutefois pas d'un statut de protection particulier.
Non renseigné pour le moment
Tortrix crataegana Hübner, 1799
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Tortrix roborana Hübner, 1799